Sur la petite colline. [LIBRE]

Rappel du premier message :

Sur la petite colline des Monts de brumes-sombres, il attend.

J'ai un rendez-vous avec Fukõna, l'assassin, je crois, du Clan de la Nuit. Notre première véritable rencontre. Je l'attends, parler des propos, et surtout de l'horrible malédiction que Mlle La Mort s'est priée de me hanter. Je ne suis pas superstsieux. Mais cette âme revenante sur la volonté des dieux me file la chair de poule. Vite, j'attends mon congénère sur notre point de rendez-vous.
Vivement qu'il arrive, je commance à frissoner, moi !

tout était paisible le jour était en train de se lever dans le plus grand calme qu'il soit , ca faisait longtemps que je n'avais pas ressentis autant de sérénité mais ... il y eu un bruit de feuille et de branches craquées ... ne dormant que d'une oreille je me releva en sursaut et je doit l'avouer un peu en panique surtout qu'a ce moment je n'aperçus plus Maddock mais yeux s'égarèrent un peu dans tout les sens je reculais peu a peu et posa ma patte sur une branche qui craqua a son tour mes yeux n'étant pas habituer a la lumière du jour je due les fermer ...
heureusement dans cet endroit le noir ne tardais pas a arriver , il ne restais plus qu'a attendre que l'ombre envahisse encore ces monts c'est a dire qu'il ne restais plus qu'a peu près trois heures a paniquer dans cet environnement ...
je retournais au lieu de notre rencontre tant bien que mal et j'aperçus l'assassin j'arrivais auprès de Maddock
mince il dort ... mieux vaut ne pas le déranger ! et puis il ne comprendrais peu être pas pourquoi une alpha craindrais le jour ...
tout en restant a proximité de lui je me mis en boule toute tremblante et un peu effrayer ....

Sur la petite colline.
Maddock, assassin personnel de Tarkin.

Je sentis du mouvement horss de mon sommeil.
Sans ouvrir les yeux, je sentis vaguement l'odeur de l'Alpha. Puis, un bruit. Là, c'était certain : elle s'était couché devant lui.

Salut. lui dis-je. Que fais-tu là ? ... Mais, tu trembles ? Tu as froid ? Viens, je vais te réchauffer.

Je me colla à elle. Elle était toute chaude, je ne compris pas pourquoi elle frissonait. Ces ailes - grandes, démoniaques et troués - pendaient mollement.

Tu es malade ? m'étais-je inquiétait. Viens, rentre dass l'arbre, à l'abri des vents.

Je la poussa jusque dans l'arbre creux.

Là, là, ne bouge pas. Je te rapportes à manger ? Tu couves peut-être quelques choses. Tu devrais rentrer à ta meute, te faire soigner par ton médecin. Sincérement.

Je me posta à l'entrée du feuillu, attendant sa réponse et la protégeant du violent vent qui me plaquait les oreilles en arrière.

son intention était gentille , mais si je lui disait ce que j'avais , il se moquerait de moi ... rho et puis temps pis :
" ne vous en faites pas c'est juste qu'ici , il y a une multitude de bruits et ... je n'y suis pas habituer ...sans compter qu'il fait jour alors ca me donne un peu mal au crâne ...."
sans remarquer que mes ailes était sortis , je continua :
"je suis désolé de vous avoir réveiller ( en s'inclinant ) mais que ...??"
je vis une de mes ailes a coter de moi et encore un peu paniqué je dit :
"ahhh ! mais pourquoi sont elles sorties ?? j'ai vraiment due paniquer pour ne pas me contrôler "
une fois calmer et mes ailes rentrer entre mes omoplates je continua :
" en tout cas merci de vous êtres réveiller pour moi , même si ca ne vaut pas le coup ..."

Sur la petite colline.
Maddock, assassin personnel de Tarkin.

Tutoyes-moi, je t'en prie.

" Ne vous en faites pas c'est juste qu'ici , il y a une multitude de bruits et ... je n'y suis pas habituer... sans compter qu'il fait jour alors ca me donne un peu mal au crâne..."

Ne craignez rien. Vous avez la migraine, je connais ça. Le vent n'améliore rien, j'en suis désolé. Vous devez rentrer chez vous, ou dans un abri. Je vais vous creuser un terrier : vous irez mieux !

Sans plus tarder, je courus vers un endroit de terre tendre. Je renila le sol vers l'endroit le plus fértile et commenca à creuser.

Un quart d'heure est passé, et j'ai déjà fait un chemin sous terre. maintenant, j'élargis le trou pour y mettre la malade. Les ailes ne doivent pas être froissés.

Enfin fini !
J'entendis une longue plainte lugurbe : Yachiru ! Tel un héros, je courus vers elle. Elle semblait vraiment mal. Je la porta vers le trou. Etend donné qu'elle était un peu lourde, je dus la poussée pour les cinq derniers mètres. Elle se glissa dans le trou.

Si tu as besoin de quoi-que-se-soit, appelles-moi. Je monte la garde.

c'était assez étrange , quand il me parlais j'avais une sensation de déjà vu , je ressentais un certain réconfort dans le son et la résonance dans sa voix et pour continuer a l'entendre parler je lui demanda :
"et sinon qui attendiez vous tout a l'heure ?? ca avait l'air d'être quelqu'un d'important n'est ce pas ? "
je me sentais un peu mieux , mais il fallait que je retrouve pourquoi je reconnaissais sa voix ... cela me tourmentais ;

Elle paraissait réconfortée.

"Et sinon, qui attendiez vous tout a l'heure ? Ça avait l'air d'être quelqu'un d'important n'est ce pas ? "

Comment cela ? Je n'attendait personne... Ah, oui ! Tu parles de Fukõna, l'a...

Je ne finis pas ma phrase. Pouvais-je lui dire que c'était l'assassin du clan de la nuit ? Je vais lui dire : en espérant que je ne fasse pas... de problème !

... Assassin du Clan de la Nuit. Ne le répétes pas, s'il te plait. Il m'en cuiera, sinon...
Je dis y aller. Je suis désolée de te laisser seul.

J'avais une pointe de tristesse dans ma voix.

A la prochaine, j'espère !

Puis, tel un fuyard, je disparus loin dans les collines de charbons.

Fin.

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» Et encore des déjections animales sur la place publique! C'est pas possible! [libre]